La rentrée littéraire 2021 des éditions Asphalte ne concerne qu’un unique ouvrage d’expression française, celui de Jean-François Dupont.
Une rentrée française
Dans son roman intitulé Villa Wexler, Jean-François Dupont donne la voix à un adolescent curieux prénommé Mathias. Ce garçon dont les parents ne s’accordent pas sur tout est vite intrigué par l’imposante famille Wexler, comprenant en son premier rang un père de famille charismatique, aussi professeur de lycée. Mathias s’entiche des membres de ce clan et passe bientôt tout son temps libre à leurs côtés, dans leur villa aux allures de royaume. Vingt ans plus tard, l’homme se rappelle cette année singulière, une année finalement traumatisante à bien des égards.
Villa Wexler de

Titre | Villa Wexler |
Auteur | Jean-François Dupont |
Éditeur | Asphalte |
Collection | Fictions |
ISBN13 | 9782365331074 |
ISBN10 | 2365331076 |
Date de parution | 2 septembre 2021 |
Prix prévisionnel | 18,00 € |
Nombre de pages | 208 |
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La veille de la rentrée scolaire, la mystérieuse famille Wexler s’installe dans une villa reculée nichée entre collines et sapins. Le père, charismatique professeur au lycée, fascine ceux qu’il côtoie, adultes comme élèves. L’un d’eux, Mathias, va fréquenter ce clan fusionnel. Cheyenne, qui passe son temps à cheval. Karl, toujours une carabine à l’épaule. Charlotte, avec qui l’adolescent va vivre un premier amour lumineux, pendant qu’une relation plus trouble semble se nouer entre Wexler et la jeune Aurore... Jusqu’au jour où il propose à sa classe de tourner un film en forêt.
Vingt ans ont passé. Mathias revient dans sa ville natale, sur les traces de son passé et de cette famille vénéneuse.
Une tension certaine
Les éditions Asphalte offrent ainsi en cette rentrée littéraire 2021 une œuvre littéraire dans laquelle on découvre des relations humaines passionnées, dévorantes.
Notons également les parutions à venir au mois d’octobre de Les Rêves qui nous restent de Boris Quercia, traduit par Isabel Siklodi et Marie Gilles ; et Tes yeux dans une ville grise de Martín Mucha, traduit par Antonia Garcià Castro.